soi fon



soi fon, Deux ivrognes le grimpaient justement.Après une demi heure de marche, soi fon, le sol devint rocailleux.Il était maigre, soi fon, plutôt grand, et paraissait avoir vingt deux ans.Dick d’un air mystérieux après m’avoir fait cette confidence un mercredi, soi fon, qui est cet homme qui se cache près de notre maison pour lui faire peur ?Quand elle rentrait en voiture, soi fon, elle s'amourachait parfois d'un souillon aperçu sur le pavé, les sens pris, l'imagination lâchée; et elle faisait monter le souillon, le payait et le renvoyait.Pourquoi m’as tu embrassée, soi fon, Tom ?soi fon, quelle question ridicule ! Surveillez votre langage, monsieur Ferdistchenko, dit le général.soi fon, se dit d'Artagnan, mes locataires communiquent… Ah ! c'est sans doute encore quelque curieux de pendaison. Je fis cette question avec un peu d'hésitation, soi fon, pensant qu'il pouvait y avoir quelque particularité sur laquelle on ne pouvait me répondre.soi fon, personne ne pensait aux réalités de la vie que pour en tirer d’amicales plaisanteries.
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